On refait l'appel !

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"Les Chefs qui, depuis de nombreuses années, sont à la tête du football Français, ont nommé Domenech.
Domenech, glorifiant l’incapacité des joueurs, s'est mis d’accord avec eux pour faire n’importe quoi. Certes, nous avons été, nous sommes, submergés par la force physique, tactique et technique, de grandes équipes, comme la Chine, l’Uruguay ou le Mexique. Infiniment plus que leurs nombres, puisqu’ils sont autant que nous, onze, sur le terrain, ce sont leurs dribles, leurs passes, et leurs tirs qui nous font reculer. C’est de les voir jouer au football qui a surpris Domenech qui nous avait pourtant bien préparé mais pour des courses de VTT,  de skie de font ou de Quad.

Mais le dernier mot est-il dit ? L'espérance doit-elle disparaître? La défaite est-elle définitive? Non!

Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n'est perdu pour l’équipe de France. Les mêmes moyens qui nous ont vaincus peuvent faire venir un jour la victoire. Il suffit que l’on s’inscrive à des courses de VTT,  de skie de font ou de Quad ou, pour le cas où l’on participerait de nouveau à une compétition de football, que l’on s’entraîne à jouer au football.   Car l’équipe de France n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle a TF1, l’Equipe et RTL derrière elle. Elle peut faire bloc avec Toyota, Carrefour et le Crédit Agricole qui ont du fric à dépenser et continue la lutte.

Moi, Laurent Blanc, actuellement en vacances, j'invite les journalistes et les experts du football français qui se trouvent en territoire Sud Africain, ou qui viendraient à s'y trouver, avec leurs : « Il faut faire ceci », ou avec leurs : «il faut faire cela », j'invite les consultants et les analystes spécialistes des choix tactiques qui se trouvent derrière un micro ou qui viendraient à s'y trouver, à se mettre en rapport avec moi, pour faire « comme ci » plutôt que de faire « comme ça ».

Quoi qu'il arrive, la flamme du football français ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas. Demain, comme aujourd'hui, on parlera pour ne rien dire."